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janvier 2009

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31-01-09 Silence on vaccine : pleins feux sur les vaccins Les vaccins occupent une grande place dans la politique de santé publique. Leurs bienfaits sont incontestables. Ils font néanmoins des victimes, dont on ne parle guère, souvent atteintes de maladies immunitaires ou neurologiques. Le film, enquête en France, aux États-Unis et au Canada, et cherche à savoir s'il existe un lien de causalité entre vaccin et maladie. Il cherche aussi à déterminer le sort des victimes et à comprendre, dans la logique "bénéfice-risque".

Les parts d’ombre de la médecine sont au centre des documentaires de la cinéaste LinaImage de l'affiche du film Silence on tourne B. Moreco. Cette fois, elle propose un film sur les vaccins. Pour discuter de Silence, on vaccine, nous recevons Pascale Beaumont, une maman au centre du film, et le docteur Georges Lévesque.

Pascale Beaumont est la mère d’une petite fille décédée à l’âge de 8 ans. À sa naissance, la petite Lauralie souffrait de microcéphalie.

Lorsqu’on administre un vaccin de routine à la petite Lauralie, les choses dégénèrent. Peu de temps après, la petite fille perd une grande partie de la matière blanche de son cerveau.

Selon des spécialistes rencontrés par la suite, Lauralie ne pourra plus se développer. Le lien causal entre l’état préalable de la petite fille et sa situation après l’administration du vaccin est énoncé.

Le docteur Georges Lévesque, spécialiste de la médecine d’urgence et coanimateur de l’émission Une pilule, une petite granule, a vu le film.

Malgré son appréciation généralement positive de l’œuvre de Lina B. Moreco, il déplore la quasi-absence d’invités pro-vaccination dans le film.

Silence... on vaccine

Le film Silence, on vaccine est présenté du 30 janvier au 12 février à la Cinérobothèque de l’ONF. Du jeudi au dimanche, les projections de 19 h seront suivies d'une discussion avec Lina B. Moreco, la réalisatrice.

Du 30 janvier au 12 février 2009, projection à 17h00 et 19h00 Cinérobothèque de l’ONF (1564, rue Saint-Denis à Montréal (Métro Berri-UQAM))

À noter également que l’émission Christian Charrette à la 1ère chaîne radio de la SRC en a fait un de ses sujets. On peut réécouter ce segment à www.radio-canada.ca/radio/christianecharette.

31-01-09 Air Canada est condamné à verser 10 000 $ à un passager sourd et aveugle VANCOUVER, B.C. — Le Tribunal canadien des droits de la personne a ordonné à Air Canada de verser 10 000 $ en compensations à un passager sourd et partiellement aveugle de Vancouver.

Le transporteur aérien avait insisté auprès du passager pour qu'il soit accompagné alors qu'il désirait voyager seul.

Néanmoins, la décision du tribunal, rendue lundi, ne signifie pas qu'Eddie Morten pourra à nouveau voyager seul à bord d'un appareil d'Air Canada. Le tribunal a précisé que la compagnie doit évaluer de manière particulière les capacités du passager avant de déterminer s'il peut prendre place à bord sans être accompagné.

Selon le jugement, il y a eu discrimination car Air Canada a nié le droit d'Eddie Morten à une évaluation équitable de ses capacités.

Avec l'aide de son chien guide, l'homme dans la quarantaine, père de deux enfants, utilise les transports en commun et prend le taxi.

L'affaire remonte à l'automne 2004, alors qu'Eddie Morten avait demandé à son agent de voyage de lui réserver un vol entre Vancouver et San Francisco.

Commission canadienne des droits de la personne

La Commission canadienne des droits de la personne applaudit la décision rendue par le Tribunal canadien des droits de la personne dans l'affaire opposant M. Eddy Morten à Air Canada. Il s'agit d'une bonne nouvelle pour les personnes sourdes et aveugles.

Le Tribunal canadien des droits de la personne a confirmé hier le bien-fondé de la plainte de M. Morten. Rappelons qu'Air Canada avait exercé une discrimination contre lui en raison de sa déficience, ce qui est contraire à l'article 5 de la Loi canadienne sur les droits de la personne, en l'obligeant à voyager avec un accompagnateur. M. Morten, qui est sourd et aveugle, a fait valoir de manière probante qu'il était tout à fait capable de prendre l'avion seul, sans accompagnateur.

"Cette décision est importante dans la mesure où elle réaffirme un principe essentiel de la loi sur les droits de la personne : tous et toutes devraient avoir accès aux mêmes possibilités et aux mêmes chances dans la société", de l'avis de Philippe Dufresne, avocat-conseil à la Commission. "Cela transmet un message sans équivoque - les personnes ayant des déficiences ont droit à l'égalité, au respect et à la dignité afin de vivre comme ils le peuvent et le veulent."

La Commission canadienne des droits de la personne a participé pleinement aux audiences. Elle a fait valoir que Air Canada avait conclu que M. Morten avait besoin de l'aide d'un accompagnateur, sans avoir évalué sa situation personnelle.

Le Tribunal a réitéré le principe énoncé par la Cour suprême du Canada selon lequel il faut faire une évaluation de la situation personnelle dans les cas de déficience au lieu de s'en tenir à une conclusion générale. Ce faisant, il a convenu avec la Commission qu'il fallait tenir compte de la situation personnelle d'une personne handicapée. La décision du Tribunal est une victoire à la fois pour M. Morten et pour toutes les personnes sourdes et aveugles du pays.

Le Tribunal a ordonné à Air Canada de travailler en collaboration avec la Commission afin d'élaborer une nouvelle politique qui n'exercera aucune discrimination contre les personnes sourdes et aveugles.

La Commission est déterminée à poursuivre ses efforts en vue de promouvoir et de soutenir l'accessibilité et les droits des personnes handicapées. Source: Commission canadienne des droits de la personne et marketwire.com / 27 janvier 2009

31-01-09  Les conséquences de la crise du recyclage sur les entreprises adaptées Un enjeu pour les personnes handicapées/Le Nouvelliste En cette période où la crise économique frappe de plein fouet le secteur de la récupération, le Regroupement d'organismes de promotion pour personnes handicapées de la Mauricie (Regroupement Mauricie) demande au gouvernement du Québec d'agir rapidement et de soutenir les efforts entrepris par Récupération Mauricie dans le but de sauver l'entreprise adaptée et les 160 emplois majoritairement occupés par des personnes handicapées.

L'adoption avec éclat, en 2008, de la « Stratégie nationale pour l'intégration et le maintien en emploi des personnes handicapées « par le gouvernement du Québec vise à assurer aux personnes handicapées l'égalité en emploi et à augmenter leur participation au marché du travail. La Stratégie nationale se donne, entre autres, comme ambitieux objectif, de réduire de 50 %, soit d'ici 2018, l'écart entre le taux d'emploi des personnes handicapées et celui de la population sans incapacité. Afin d'être conséquent avec les objectifs poursuivis, le gouvernement du Québec devrait agir rapidement dans ce dossier, être à l'écoute des besoins exprimés par la direction de Récupération Mauricie et y apporter l'aide financière demandée le temps que la tempête passe.

Ne rien faire pour soutenir ce secteur ne fera que creuser davantage l'écart entre le niveau d'emploi des personnes handicapées versus celui de l'ensemble de la population et de nous éloigner de l'objectif de réduction visé.

Le Québec ne peut se permettre de négliger la contribution des personnes handicapées au marché du travail. Rappelons que les personnes handicapées représentent l'un des segments de main-d'œuvre les plus défavorisés sur le marché du travail; elles comptent parmi les moins bien nanties financièrement, les moins favorisées sur le plan de la formation et celles-ci doivent composer avec un important risque d'exclusion sociale. Pour toute personne, une perte d'emploi est difficile à vivre, tant pour elle-même que pour son entourage. Pour une personne handicapée qui oeuvre au sein d'une entreprise adaptée, la perte d'un emploi fait en sorte de restreindre de manière encore plus considérable l'accès au marché du travail et de rendre le parcours vers l'emploi plus pénible et laborieux. Paru le vendredi 30 janvier 2009 sur Cyberpresse.ca/Le Nouvelliste

31-01-09  Réaction de l'AQIS concernant le dépistage prénatal gratuit DÉPISTAGE PRÉNATAL – «DES CHOIX INDIVIDUELS QUI NOUS INTERPELLENT COLLECTIVEMENT»… ET COMMENT! Québec, le 28 janvier 2009 – L’Association pour l’intégration sociale (Région de Québec) considère que le Commissaire à la santé et au bien-être, M. Robert Salois, a su entendre les préoccupations ainsi que les enjeux soulevés par le milieu associatif et les faire ressortir dans son rapport de consultation intitulé «Des choix individuels qui nous interpellent collectivement». Bien qu’un effort majeur a été réalisé par le Commissaire pour identifier des recommandations permettant de respecter à la fois les personnes vivant avec une déficience intellectuelle (nous parlerons de déficience intellectuelle, car ce n’est pas la trisomie 21 qui en soi dérange, mais bien la déficience qui y est rattachée) et le libre-arbitre des parents, l’AISQ réitère sa position exprimée dans son mémoire «Non à un programme public de dépistage prénatal offert de façon systématique à toutes les femmes enceintes du Québec» et demeure sceptique et inquiète de la manière dont le dépistage sera réalisé et des ressources matérielles, financières et humaines qui y seront allouées. Car même si le commissaire souligne que les personnes ayant une déficience intellectuelle vivent de la discrimination, ses recommandations cautionnent quand même la mise sur pied d’un programme public de dépistage prénatal de la trisomie 21.
 
Peu importe les mesures qui seront prises pour bien informer les parents, pour faire connaître la déficience intellectuelle ou pour permettre un choix éclairé, un tel programme public de dépistage prénatal sera intrinsèquement discriminatoire. Imaginons un siècle plus tard que toute la population se fait une autre image des personnes trisomiques, qu’elle est au fait des impacts collectifs d’un choix individuel, le programme de dépistage prénatal sera encore plus discriminatoire à leur égard, car même avec toutes les mesures de sensibilisation et d’information proposées (le Commissaire met en évidence que: …plusieurs acteurs concernés ont souligné l’importance de poser des actions concrètes pour en contrer les effets négatifs du programme de dépistage), on pourra consciemment et de manière ciblée choisir de les éliminer. Comment se sentira une personne trisomique lorsqu’elle prendra conscience que son gouvernement (car elle aussi est une citoyenne avec des droits et des responsabilités) organise et consent à l’élimination des personnes comme elle!
 
Ce dilemme éthique nous amène nécessairement à faire un choix entre l’univers individuel et l’univers collectif. Nous comprenons les motivations individuelles des couples de procéder à des tests de dépistage prénatal de la trisomie 21, c’est-à-dire que le désir du bébé parfait, le désir de contrôler sa vie personnelle et son avenir est humainement compréhensible, mais collectivement, accepter un tel programme public de dépistage prénatal signifie le cautionnement d’une discrimination supportée idéologiquement et financièrement par l’État à l’égard des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. Comment ne pas parler d’eugénisme?
 
L’AISQ souhaite également que de telles consultations aient lieu avant que les services proposés (en l’occurrence le dépistage) soient offerts à la population. De telle manière, que le débat précéderait les choix à faire et non le contraire. Dans le cas qui nous préoccupe, la consultation est venue trop tard et peut difficilement revenir sur les services déjà proposés.

Le comité Parents-Soutien, un des comités d’action de l’Association fort d’une expérience de 30 ans de soutien auprès des parents, distribue une pochette d’information sur la déficience intellectuelle dans les maternités de la région de Québec. Il a également réalisé deux outils, une vidéo pédagogique sur l’annonce du diagnostic destinée aux professionnels de la santé ainsi qu’un DVD intitulé «Un choix de vie» pour les parents qui auront reçu une annonce de diagnostic. Les membres du comité réitèrent aux parents concernés leur intérêt à les soutenir et à les informer sur la déficience intellectuelle. Source: Marie Boulanger Lemieux Directrice générale, 622-7144 poste 102.

31-01-09  Dépistage prénatal de la Trisomie 21 Montréal, 27 janvier 2009 – L’Association du Québec pour l’intégration sociale (AQIS) et le Regroupement pour la Trisomie 21 ont pris connaissance des recommandations émises par le Commissaire à la santé et au bien-être (ci-après le Commissaire) dans son rapport Consultation sur les enjeux éthiques du dépistage prénatal de la trisomie 21, ou syndrome de Down, au Québec – Des choix individuels qui nous interpellent collectivement.
 
Conscients que les avancées scientifiques ont amené des nouvelles technologies qui permettent le dépistage prénatal de la trisomie 21, l’AQIS et le Regroupement se questionnent fortement sur les conséquences désastreuses que pourrait entraîner la systématisation des tests dans le contexte actuel, allant du sentiment de rejet vécu par les personnes ayant une trisomie 21 à une dérive vers l’eugénisme.
 
Heureusement, la consultation du Commissaire a permis de cerner plusieurs aspects, concernant leurs besoins et ceux de leur famille, qu’il convient d’améliorer pour qu’elles ne fassent plus l’objet de discrimination et qu’elles soient acceptées dans la société pour ce qu’elles sont et ce qu’elles peuvent y apporter. On fait notamment référence, dans le rapport de consultation, à l’intégration sociale des personnes ayant une trisomie ou une déficience intellectuelle, qui débute par celle en milieu de garde et en milieu scolaire, mais d’abord et avant tout à leur accès à des services spécialisés et en intervention précoce peu importe le lieu de résidence, pour leur donner les meilleures chances de maximiser leur développement. Sont également mentionnés les besoins de répit des familles, du soutien psychologique et financier nécessaires pour les aider à assumer le surplus de responsabilités lié à leur situation. Nous sommes d’avis que si toutes ces conditions étaient remplies, les parents seraient beaucoup moins effrayés par l’annonce d’une trisomie ou de toute autre différence de leur enfant.
 
Nous ne pouvons que nous réjouir que le Commissaire ait cru bon de faire des recommandations d’actions à entreprendre, indépendamment de la mise en œuvre d’un programme de dépistage. Ainsi, il souligne l’importance d’offrir aux personnes ayant une trisomie 21 et à leur famille tout le soutien dont elles ont besoin. Il recommande également de sensibiliser les citoyens québécois à ce qu’elles peuvent apporter à la société. Le Commissaire répond en outre à certaines de nos demandes concernant : le besoin de formation des professionnels susceptibles d’informer ou de faire le suivi des parents; le soutien de la recherche pour aider les personnes ayant une trisomie 21 (et non pour les éliminer); l’implication des personnes provenant de la communauté tels des membres d’associations de parents de personnes présentant la trisomie 21 dans des activités de sensibilisation et d’information. Ce que nous saluons. Qui de mieux que les personnes directement concernées pour collaborer avec les intervenants.
 
Par ailleurs, dans l’éventualité de la mise en œuvre par le Gouvernement d’un programme de dépistage prénatal de la trisomie, il nous apparaît primordial, à l’instar du Commissaire, que la notion de choix libre et éclairé s’applique formellement, ce qui signifie que les parents ne doivent subir aucune pression, exprimée ou implicite, des intervenants médicaux ou autres, et qu’un soutien psychologique soit offert, peu importe la décision. Enfin, nous appuyons la mise en garde du Commissaire à l’effet qu’un tel programme doit inclure des efforts réels dans la réalisation des actions qu’il propose, à défaut de quoi les problèmes déjà présents ne pourraient que s’aggraver.
 
L’Association du Québec pour l’intégration sociale regroupe 86 associations, principalement des associations de parents de personnes qui ont une déficience intellectuelle provenant de toutes les régions du Québec. Elle représente environ 10 000 familles. Pour sa part, le Regroupement pour la Trisomie 21 rejoint plus de 400 familles québécoises, vivant principalement dans la grande région de Montréal. Comme l’indique son nom, ce regroupement est le porte-parole des parents d’enfants ayant une trisomie 21, lesquels manifestent une déficience intellectuelle Source : Inclusif

31-01-09  Association de spina-bifida et d'hydrocéphalie du Québec - Oui au test prénatal gratuit à travers toute la province MTL, le 28 janv. /CNW/ - L'Association de spina-bifida et d'hydrocéphalie du Québec (ASBHQ) accueille avec satisfaction les conclusions du rapport du Commissaire à la santé et au bien-être du Québec qui ne s'oppose pas à offrir gratuitement à travers la province à toutes les femmes enceintes un test prénatal de la Trisomie 21 mais qui énonce plusieurs actions à entreprendre pour prendre en considération les enjeux éthiques soulevés par une telle offre.
 
Bien que les documents du gouvernement ne mentionnaient pas le spina-bifida, il nous a semblé important d'intervenir dans la consultation. En effet, le test de dépistage proposé par le gouvernement utilise le dosage de l'a-foetoprotéine, la même protéine dont le dosage est utilisé depuis déjà plusieurs années pour évaluer les risques d'anomalies du tube neural (dont le spina-bifida) chez le fœtus. Le programme gouvernemental pourrait donc éventuellement s'étendre dans les prochaines années à la détection du spina-bifida.
 
À l'instar du Commissaire, nous nous réjouissons que ce test prénatal sera offert gratuitement à travers la province. Mais, ainsi que nous l'avons mentionné lors de notre passage devant la Commission, nous tenons à ce que certaines conditions soient respectées. "Puisque ce test sera gratuit et sans risque pour la santé de la mère ni du fœtus, explique madame Ginette Bélisle, directrice générale de l'organisme, nous craignons que les parents subissent une certaine pression pour le passer et que ceux qui accouchent d'un bébé qui a le spina-bifida soient montrés du doigt ou laissés-pour-compte."
 
À l'ASBHQ, nous voulons donc nous assurer que :
 
- Le test sera offert sur une base volontaire : en aucunes façons nous n'accepterions que les femmes soient obligées de passer ce test.
 
- Les parents conservent le droit de choisir de poursuivre ou d'arrêter la grossesse, sans représailles possibles, concernant les aides financières et les services destinés aux personnes handicapées et leurs parents, en cas de naissance d'un enfant qui a le spina-bifida. Les personnes qui ont le spina-bifida ont le droit de vivre et les parents qui ont eu le diagnostic ont le droit de choisir d'élever un enfant qui a cette malformation.
 
- Les centres qui vont faire ce diagnostic mettent à la disposition des parents qui auront un résultat positif, une information fiable sur le spina-bifida. Les centres qui vont faire ce diagnostic doivent s'assurer de mettre à la disposition des parents qui auront un résultat positif, une information fiable sur le spina-bifida et les informer sur les ressources d'informations et de support existant dans la communauté.
 
Nous déplorons également que le délai soit si long entre le premier diagnostic qui se passe au premier trimestre de grossesse et le 2e test sanguin puis l'amniocentèse ou l'échographie, au deuxième trimestre de grossesse. Ce délai peut engendrer un stress pour les parents qui souhaitent attendre une confirmation au 2e test sanguin avant de prendre une décision.
 
Nous devons également être conscients que :
 
1 - Le test sanguin n'est pas un test diagnostic; il permet seulement de calculer une probabilité.
 
2 - Il ne permet pas non plus de dire de quelle forme de spina-bifida l'enfant sera atteint et quel sera le degré de gravité de ses séquelles. Or, les séquelles de cette malformation congénitale varient d'un individu à l'autre. Même pour la forme la plus sévère de spina-bifida, les séquelles varient entre deux extrêmes : d'une faible difficulté à marcher jusqu'à une paralysie totale des membres inférieurs, par exemple.
 
Informations sur ce test prénatal
 
Ce test se fera à partir de deux prélèvements sanguins, un au premier trimestre, entre la dixième et la treizième semaine de grossesse; un autre au deuxième trimestre de grossesse (entre la quatorzième et la seizième semaine de grossesse). On mesure la quantité d'a-foetoprotéine. Ce test ne donne pas de diagnostic mais seulement une estimation de la probabilité que la femme enceinte accouche d'un enfant qui a un spina-bifida ou une trisomie 21. Il sera gratuit pour toutes les femmes, quel que soit leur âge. En cas de résultat positif, la femme se verra proposer une amniocentèse, au deuxième trimestre de grossesse. Si le résultat positif se confirme, les futurs parents devront alors décider s'ils poursuivent ou non la grossesse. Tous les frais reliés à ces tests (sanguin et amniocentèse) seront pris en charge par le gouvernement du Québec.
 
L'Association de spina-bifida et d'hydrocéphalie du Québec
 
L'ASBHQ dessert plus de 9000 personnes vivant avec le spina-bifida ou l'hydrocéphalie à travers le Québec. Depuis 1975, notre organisme soutient ces personnes pour leur permettre de participer pleinement à notre société et défendre leurs droits. www.spina.qc.ca .
 
Renseignements: Ginette Bélisle, directrice générale ASBHQ, (514) 340-9019, sans frais, 1 800 567-1788; Source: Nathalie Boels, agente de communication.

31-01-09 La Semaine de la canne blanche 2009 en l'honneur de Louis Braille MONTREAL, le 28 janv. /CNW Telbec/ - Le Réseau Comm-une-vision soulignera le 200e anniversaire de la naissance de Louis Braille dans le cadre de la Semaine de la canne blanche, qui aura lieu dans toute la province du 1er au 7 février prochain sous le thème : l'autonomie en main, continuons l'œuvre de Louis Braille.
 
Le 4 janvier 2009 a marqué le bicentenaire de la naissance du grand Louis Braille, celui dont le système d'écriture et de lecture a nettement amélioré les conditions de vie des personnes ayant une déficience visuelle. C'est donc sous le thème du braille que le réseau Comm-une-vision consacrera une partie des activités de la Semaine de la canne blanche 2009, afin de sensibiliser la population à cette réalité, qui selon l'Office des personnes handicapées du Québec, touche plus de 120 000 Québécois. Pour connaître les activités qui auront lieu dans diverses régions du Québec lors de cette semaine de sensibilisation, visitez le site Internet : www.canneblanche.qc.ca.
 
Le Réseau Comm-une-vision regroupe quatorze organismes œuvrant auprès des personnes ayant une déficience visuelle. Sa mission est de faciliter l'intégration sociale et d'améliorer les conditions de vie des personnes ayant une déficience visuelle par l'élaboration de stratégies communes de communication. Renseignements: Florence Pardo, Comm-une-vision, (514) 849-2018, fpardo@raaq.qc.ca, www.canneblanche.qc.ca .

31-01-09  Un nouveau président et chef de la direction à l'INCA TORONTO, le 27 janv. /CNW/ - INCA, le plus important fournisseur de services spécialisés en santé visuelle, annonce aujourd'hui la nomination de John M. Rafferty au poste de président et chef de la direction de l'organisme. M. Rafferty entrera en fonction le 2 mars. Il remplacera le président et chef de la direction actuel, Jim Sanders, qui prend sa retraite le 31 mars.
 
"John Rafferty est un dirigeant d'entreprise exceptionnel qui possède une qualification professionnelle à nulle autre pareille pour gérer INCA", affirme Al Jameson, président du conseil d'administration national d'INCA. "Ses compétences et son expérience conviennent parfaitement à notre organisation."
 
John Rafferty possède 13 années d'expérience nationale et internationale à titre de cadre supérieur, ayant plus récemment occupé le poste de directeur de l'exploitation de Canpages Inc., une entreprise d'annuaires offerts en version papier et en ligne qu'il a cofondée en 2006. Avant de cofonder cette entreprise, John Rafferty a été gestionnaire chez British Telecom (Royaume-Uni), Verizon Information Services (Canada, Pologne et Chine) et Dun and Bradstreet (Canada).
 
"Le climat économique actuel constitue un enjeu énorme pour les organisations de bienfaisance", déclare M. Jameson. "Nous sommes toutefois certains que les compétences professionnelles de John Rafferty, ainsi que le leadership dont ce dernier a déjà fait preuve, permettront à INCA de relever les défis actuels et futurs."
 
"INCA est un chef de file international du secteur des services de soutien en matière de vision et un organisme qui transforme véritablement la vie quotidienne des gens", dit John Rafferty, ajoutant qu'un membre de sa famille immédiate vit avec une perte de vision et qu'il a toujours soutenu cette organisation. "Je suis un fervent admirateur d'INCA et de sa mission et j'ai très hâte de contribuer à son avancement."
 
Al Jameson a aussi exprimé ses plus sincères remerciements et sa très profonde reconnaissance au président et chef de la direction sortant, Jim Sanders. "Jim Sanders a consacré 42 années de sa vie à INCA. Ses nombreuses contributions, et plus particulièrement celles qu'il a fournies au cours des huit dernières années alors qu'il occupait le poste de président et chef de la direction, ont permis le renouvellement de la marque et de la mission de l'organisme, la mise en place d'un service de bibliothèque numérique à la fine pointe de la technologie, la reconduction de la préséance de la recherche et la prise d'un engagement ferme au chapitre de l'excellence et de l'innovation en ce qui concerne les services. Jim Sanders a été un remarquable ambassadeur de l'organisation et nous lui souhaitons une retraite heureuse."
 
A propos d'INCA
 
INCA est un organisme caritatif communautaire national et enregistré qui se consacre à l'éducation du public, à la recherche et à la santé visuelle de tous les Canadiens. INCA fournit aux personnes vivant avec une perte de vision les services et le soutien nécessaires à une qualité de vie. Pour en savoir plus, consultez www.inca.ca  ou composez le 1 800 563-2642.

31-01-09 Journée contact – 3e édition : BRANCHEZ-VOUS SUR LE RÉSEAU DE L’EMPLOI! Montréal, le 26 janvier 2009 – Le Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO) pour personnes handicapées, en collaboration avec le Comité Action Personnes Handicapées Intégration Travail (ÇAPHIT) de Laval, invite les étudiants, les finissants, les diplômés et les personnes actives sur le marché du travail, qui ont une limitation fonctionnelle (incluant les difficultés liées à la santé mentale ou aux troubles d’apprentissage) à rencontrer des employeurs lors de la 3e édition de la Journée Contact le 26 mars prochain.
 
Au programme : des employeurs, vos compétences, des postes à temps plein et à temps partiel, des emplois d’été et des stages, des conférences, une clinique CV & entrevue.
 
Plusieurs employeurs seront présents : Bombardier aéronautique, CGI, Ville de Laval, Air Canada, CSC Canada, Service canadien du renseignement de sécurité, Office national du film du Canada, Fédération des cégeps, Métro Richelieu inc., Banque Nationale Groupe Financier, Loto-Québec, TD Canada Trust, Coopérative AccessibilitéWeb, Hydro-Québec, Ville de Montréal, Centre de services partagés du Québec, TD Assurance, Société de transport de Montréal (STM), RBC, Commission de la fonction publique du Canada, Université de Montréal, Transat, Université McGill, Transports Canada, Statistique Canada, Astral Media et autres.
 
Des ressources seront également sur place : Placement en ligne d’Emploi-Québec, Regroupement des organismes spécialisés pour l’emploi des personnes handicapées (ROSEPH), SPHERE-Québec, Association québécoise inter-universitaire des conseillers pour les étudiants ayant des besoins spéciaux (AQICEBS).
 
 
Journée Contact
Le jeudi 26 mars 2009 de midi à 18 h
Au Centre Mont-Royal, 2200 rue Mansfield
(Métro Peel)
Inscription au www.camo.qc.ca (avant le 20 mars)
Information : 1 888 522-3310
 
LE CAMO POUR PERSONNES HANDICAPÉES
 
Fondé en 1993, le Comité d'adaptation de la main-d'œuvre (CAMO) pour personnes handicapées est un comité national dont la mission est de favoriser l’accès à la formation et à l’emploi des personnes handicapées. Le CAMO pour personnes handicapées est un organisme à but non lucratif financé par le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale à titre de comité d’intégration et de maintien en emploi. Source : Éric Daigle, CAMO

31-01-09 Réaction de l'AQIS et du Regroupement trisomie 21 sur le dépistage de la Trisomie 21 Montréal, 27 janvier 2009 – L’Association du Québec pour l’intégration sociale (AQIS) et le Regroupement pour la Trisomie 21 ont pris connaissance des recommandations émises par le Commissaire à la santé et au bien-être (ci-après le Commissaire) dans son rapport Consultation sur les enjeux éthiques du dépistage prénatal de la trisomie 21, ou syndrome de Down, au Québec – Des choix individuels qui nous interpellent collectivement.

Conscients que les avancées scientifiques ont amené des nouvelles technologies qui permettent le dépistage prénatal de la trisomie 21, l’AQIS et le Regroupement se questionnent fortement sur les conséquences désastreuses que pourrait entraîner la systématisation des tests dans le contexte actuel, allant du sentiment de rejet vécu par les personnes ayant une trisomie 21 à une dérive vers l’eugénisme.

Heureusement, la consultation du Commissaire a permis de cerner plusieurs aspects, concernant leurs besoins et ceux de leur famille, qu’il convient d’améliorer pour qu’elles ne fassent plus l’objet de discrimination et qu’elles soient acceptées dans la société pour ce qu’elles sont et ce qu’elles peuvent y apporter. On fait notamment référence, dans le rapport de consultation, à l’intégration sociale des personnes ayant une trisomie ou une déficience intellectuelle, qui débute par celle en milieu de garde et en milieu scolaire, mais d’abord et avant tout à leur accès à des services spécialisés et en intervention précoce peu importe le lieu de résidence, pour leur donner les meilleures chances de maximiser leur développement. Sont également mentionnés les besoins de répit des familles, du soutien psychologique et financier nécessaires pour les aider à assumer le surplus de responsabilités lié à leur situation. Nous sommes d’avis que si toutes ces conditions étaient remplies, les parents seraient beaucoup moins effrayés par l’annonce d’une trisomie ou de toute autre différence de leur enfant.

Nous ne pouvons que nous réjouir que le Commissaire ait cru bon de faire des recommandations d’actions à entreprendre, indépendamment de la mise en œuvre d’un programme de dépistage. Ainsi, il souligne l’importance d’offrir aux personnes ayant une trisomie 21 et à leur famille tout le soutien dont elles ont besoin. Il recommande également de sensibiliser les citoyens québécois à ce qu’elles peuvent apporter à la société. Le Commissaire répond en outre à certaines de nos demandes concernant : le besoin de formation des professionnels susceptibles d’informer ou de faire le suivi des parents; le soutien de la recherche pour aider les personnes ayant une trisomie 21 (et non pour les éliminer); l’implication des personnes provenant de la communauté tels des membres d’associations de parents de personnes présentant la trisomie 21 dans des activités de sensibilisation et d’information. Ce que nous saluons. Qui de mieux que les personnes directement concernées pour collaborer avec les intervenants.

Par ailleurs, dans l’éventualité de la mise en œuvre par le Gouvernement d’un programme de dépistage prénatal de la trisomie, il nous apparaît primordial, à l’instar du Commissaire, que la notion de choix libre et éclairé s’applique formellement, ce qui signifie que les parents ne doivent subir aucune pression, exprimée ou implicite, des intervenants médicaux ou autres, et qu’un soutien psychologique soit offert, peu importe la décision. Enfin, nous appuyons la mise en garde du Commissaire à l’effet qu’un tel programme doit inclure des efforts réels dans la réalisation des actions qu’il propose, à défaut de quoi les problèmes déjà présents ne pourraient que s’aggraver.

L’Association du Québec pour l’intégration sociale regroupe 86 associations, principalement des associations de parents de personnes qui ont une déficience intellectuelle provenant de toutes les régions du Québec. Elle représente environ 10 000 familles. Pour sa part, le Regroupement pour la Trisomie 21 rejoint plus de 400 familles québécoises, vivant principalement dans la grande région de Montréal. Comme l’indique son nom, ce regroupement est le porte-parole des parents d’enfants ayant une trisomie 21, lesquels manifestent une déficience intellectuelle. Source: Paru le mardi 27 janvier 2009 sur AQIS et Reg. trisomie 21

23-01-09 Le bien-être de la personne handicapée Le bien-être de la personne handicapée Dans les mots de Marcus Aurelius l’empereur romain, Vivre n’est pas seulement qu’être, mais être bien. Le bien-être est à la base de la plupart de nos préoccupations contemporaines et une existence qui en serait dépourvue seraient bien pénible. Il est certainement une question de perception de la vie mais sans quelques éléments de bases il est très difficile à obtenir. Pour une personne vivant avec une limitation, qui se trouve constamment face à des obstacles dans son quotidien, la quête du bienêtre prend des proportions encore plus importantes.

Grâce aux données obtenues à partir du site du CCDS penchons nous maintenant sur le sujet. Le soutien social est très important quand vient le temps de trouver du bien-être que l’on vive avec une limitation ou non.

L'affection qui nous est porté par autrui est un autre facteur affectant directement notre bien-être. Certains on l’âme plutôt solitaire mais quoi que l’on puisse en dire, se sentir apprécier par nos pairs est indéniablement plaisant.

On le définit comme l’accès qu’il serait possible d’avoir à de l’aide pour s’occuper de soi si on était malade ou incapable de s’occuper de soi même. Le graphique suivant représente la fréquence avec laquelle les individus interrogés pourraient recevoir ce support social en cas de besoin.



Le graphique suivant représente la fréquence ou les individus interrogés disent recevoir des témoignages d’affection selon leur condition et leur sexe.

 

De ces deux graphes on peut déduire plusieurs choses. Tout d’abord qu’il est plus facile pour un homme sans handicap d’obtenir le support social qu’il nécessite dans presque tous les cas. Il en va de même pour les hommes vivant avec une limitation par rapport aux femmes de cette catégorie. Fait intéressant, les rôles sont diamétralement opposés en ce qui concerne les témoignages d’affection. Il est plus courant pour les femmes, vivant avec une incapacité ou non, de se voir rendre des témoignages d’affection.

On notera également que dans tous les cas, les personnes vivant avec une limitation reçoivent moins couramment du support social ou bien encore des témoignages d’affection. Les données et statistiques inclus dans cette fiche technique proviennent d’études réalisées par le CCDS. Il est possible de les consulter au www.ccsd.ca/drip/francais/recherche

23-01-09 Une personne handicapée employée pour vendre des cellulaires VVVVoVVous avez-vu le film le huitième jour? Eh bien, la compagnie cellulaire à coût réduit Symio a engagé le comédien trisomique Pascal Duquenne.  Le slogan: « Cet homme est différent. Il ne paie ses appels que 19 centimes la minute. »!

 

23-01-09 Lrong>span class="Normal_padding">strong>e besoin d’accommodement et le transport en avion Suite à la décision de l’Office des transports du Canada en date du10 janvier 2008, Air Canada est heureuse de vous communiquer les modifications apportées à nos politiques relatives aux passagers ayant une déficience.

À compter du 9 janvier 2009, les passagers ayant une déficience qui se  qualifient en vue de voyages au Canada pourront se voir offrir des places supplémentaires pour eux-mêmes et/ou un préposé et ce, sans frais additionnels. Ce service est disponible à bord de tous les vols exploités par Air Canada, Air Canada Jazz ainsi que les vols à code multiple d’Air Canada exploités par des transporteurs de troisième niveau (lorsque le type d’appareil et la configuration de l’appareil le permettent).

Quant aux vols au départ et à destination des États-Unis, Air Canada maintient sa pratique d’offrir une escompte de 50% sur certains tarifs pour un siège additionnel ou pour un préposé.

Les clients ayant une déficience, y compris une déficience en raison de l’obésité, devront informer le transporteur de leurs besoins d’accommodement au moment de la réservation. En général, Air Canada exige une prévis de 48 heures (et parfois 72 heures) avant la date du voyage. Par contre, nous ferons de notre mieux pour répondre aux demandes faites dans un délai plus court. Les taxes, frais et charges ne seront pas prélevés lors de l’utilisation d’un siège additionnel occupés par le passager ayant une déficience. Par contre, dans le cas du préposé, les frais et charges imposés par le gouvernement ou par une autorité aéroportuaire (à l’exception de Gander à Terre Neuve) seront appliqués. La sélection de siège à l’avance ne sera pas possible.

Afin de se prévaloir du droit d’obtenir des places supplémentaires sans frais, le passager devra soumettre une attestation médicale confirmant le besoin d’accommodement en raison d’une déficience.  Cette attestation médicale devra également confirmer l’état de santé de la personne désirant voyager. Afin de faciliter les déplacements futurs, si la seule déficience identifiée est en raison de l’obésité, le transporteur conservera la confirmation de l’accommodement au dossier pour une période de 2 ans.

Les clients qui reçoivent l’autorisation d’utiliser un siège supplémentaire pour eux-mêmes, se verront attribuer un seul fichier de réservation et un seul billet. Afin de fournir l’accommodement nécessaire, leurs sièges leurs seront assignés avant le vol par le service médical d’Air Canada. Il est à noter que l’octrois de places supplémentaires n’est pas possible sur les appareils Beechcraft ou en classe Affaires et que les places supplémentaires peuvent être limitées à bord des CRJ et des Embraer.

Les passagers ayant une déficience et réclamant une place gratuite pour un préposé devront également obtenir une attestation médicale préalable au voyage confirmant ce besoin d’accommodement. Les passagers qui sont incapables de se déplacer seuls, non autonomes ou qui ont une déficience visuelle, auditive ou cognitive les rendant inaptes à recevoir les consignes de sécurité pendant toutes les étapes vol devront être accompagnés par un préposé qui se verra attribuer une place gratuite.

Pour de plus amples renseignements sur ces nouveaux services ainsi que les nombreux autres services offerts par Air Canada aux personnes ayant une déficience, nous vous invitons à consulter le www.aircanada.com puis, sous l’onglet « Information et services », voir le chapitre « clients avec besoins spéciaux » sous la rubrique « Info-voyage».

23-01-09 Saviez-vous que... Près de la moitié des adultes handicapés du Québec n’ont pas de diplôme d’études secondaires, comparé à seulement 37 % des adultes handicapés à travers le Canada. Par ailleurs, un peu plus de 10 % des handicapés canadiens ont décroché un diplôme universitaire ou ont fréquenté une école de métiers d’où ils ont gradué.

Au Canada, près de la moitié des adultes handicapés sont sur le marché du travail et 46 % d’entre eux ont un revenu inférieur à 15 000 dollars par an (comparé à 33 % de la population canadienne qui n’est pas handicapée). Au Québec, par contre, 56 % des personnes handicapées sont inactives. De celles qui sont sur le marché du travail, plus de la moitié vivent avec un revenu inférieur à 15 000 dollars par an.

Selon la Loi (fédérale) sur l’équité en matière d’emploi, les employeurs relevant de la compétence fédérale doivent inclure les femmes, les minorités visibles, les peuples autochtones et les personnes handicapées dans leurs pratiques de recrutement et de promotion et voir à supprimer les obstacles à leur inclusion. Dans la réalité, les travailleurs ayant une incapacité sont sous-représentés dans de nombreux milieux de travail. Les personnes handicapées sur le marché du travail ne représentent que 2 % des travailleurs du secteur privé et 5 % des travailleurs du secteur public relevant de la compétence fédérale. En 1999, les allégations de discrimination au travail fondées sur l’incapacité représentaient plus du tiers des plaintes reçues par la Commission canadienne des droits de la personne.

23-01-09 Le supplément pour enfant handicapé est une aide financière qui a pour but d'aider les familles à assumer la garde, les soins et l'éducation d'un enfant dont le handicap physique ou mental le limite de façon importante dans ses activités de la vie quotidienne et dont la durée prévisible est d'au moins un an.
 
Le supplément pour enfant handicapé
 
Cette aide financière est versée à toutes les familles qui ont un enfant de moins de 18 ans reconnu handicapé par la Régie des rentes du Québec. Elle est la même pour tous les enfants, quel que soit le handicap ou le revenu familial. Pour y être admissible, vous devez répondre à certains critères.
 
Le montant du supplément est de 171 $ par mois pour chaque enfant handicapé.
 
Pour faire une demande de supplément pour enfant handicapé, vous devez remplir le formulaire correspondant et le retourner à la Régie des rentes du Québec. Source: rrq.gouv.qc.ca

23-01-09 Journée Contact : branchez-vous sur le réseau de l’emploi! Après le succès de la dernière Journée Contact au cours de laquelle 400 étudiants, finissants et travailleurs ayant une limitation fonctionnelle rencontraient 25 employeurs, le CAMO pour personnes handicapées prépare la 3e édition de l’événement qui se tiendra le jeudi 26 mars 2009.
 
Objectif de la Journée Contact : permettre aux étudiants, aux finissants, aux diplômés et aux personnes actives sur le marché du travail, qui ont une limitation fonctionnelle (incluant les difficultés liées à la santé mentale ou aux troubles d’apprentissage), de rencontrer des employeurs et ainsi leur faciliter l’accès à des emplois de qualité, que ce soit des postes à temps plein, à temps partiel, des emplois d’été ou des stages.
 
Au programme :
?   Des employeurs!
? Vos compétences!
? Des postes à temps plein et à temps partiel, des emplois d’été et des stages!
? Des conférences!
? Une clinique CV & entrevue sur place!
 
À Montréal, le jeudi 26 mars 2009, de midi à 18 h
 
Pour plus de détails et pour vous inscrire en ligne sur le site du CAMO, consultez la page d’accueil du www.camo.qc.ca  dès le lundi 26 janvier prochain.
 
Pour information : 1-888- 522-3310

23-01-09 Saviez-vous que... Qu'un canadien sur huit vit avec une incapacité physique ou cognitive.

23-01-09 La situation de handicapé et les actions municipales La notion de handicap a beaucoup évolué au cours des dernières décennies et ceci n’est pas sans effet sur la manière dont on définit le soutien collectif en cette matière.

Le modèle du Processus de production du handicap, développé en sociologie avec l’apport de chercheurs québécois (Fougeyrollas et autres. 1998), s’impose progressivement et les modifications à la Loi rendent compte de l’intégration de certains éléments de ce modèle. Cette approche établit des distinctions entre plusieurs notions – déficience, incapacité, facilitateur, obstacle, participation sociale et situation de handicap – et les articule dans un modèle cohérent qui fait du handicap non pas une caractéristique rattachée à la personne, mais le résultat d’une interaction entre ces caractéristiques et l’environnement.

Concrètement, une personne paraplégique a une déficience motrice qui limite sa capacité d’effectuer certaines activités d’une façon considérée comme normale pour un être humain. Si l’environnement dans lequel évolue cette personne (espace privé et public) est aménagé en tenant compte des personnes circulant en fauteuil roulant (aménagement de facilitateurs ou élimination des obstacles), lui évitant ainsi d’être limitée dans ses activités, alors elle ne vivra pas de situation de handicap.

Dans cette optique, les municipalités peuvent jouer un rôle important puisqu’elles interviennent dans divers domaines pertinents au regard de l’accessibilité : aménagement du territoire, habitation, transport, loisirs, pour ne nommer que ceux-là. Selon le modèle du Processus de production du handicap et selon ces définitions, il faut comprendre que les personnes ayant une incapacité ne vivent pas toutes une situation de handicap et donc, ne sont pas toutes des personnes handicapées. Cela signifie que le nombre de personnes ayant des incapacités est toujours plus élevé que le nombre de personnes vivant une situation de handicap. On peut diminuer le nombre de personnes handicapées en réduisant les obstacles créés par l’environnement.

À l’inverse, si on décidait demain d’éliminer toutes les rampes d’accès, on augmenterait le nombre de personnes vivant une situation de handicap. On peut augmenter le degré de nuance en disant qu’une personne peut avoir une incapacité dans certaines sphères de sa vie et vivre une situation de handicap dans d’autres. Par exemple, sa résidence et son milieu de travail peuvent être adaptés à ses caractéristiques, mais il peut en être autrement des lieux où cette personne aimerait pratiquer une activité de loisir. La situation de handicap n’est vécue que dans le dernier cas. L’intervention publique doit donc être orientée sur la réduction des situations créant des handicaps. Source: Intégration des personnes vivant une situation de handicap : État de la situation et plan d'action 2008 / Ville de Québec

23-01-09 À lire... “Le handicap. Origines et actualité d’un concept”.

Un article publié dans l'ouvrage sous la direction de Henri Dorvil et Robert Mayer, Problèmes sociaux. Tome I. Théories et méthodologies. Première partie, chapitre 8, pp. 191-215. Québec: Les Presses de l'Université du Québec, 2001, 592 pp. Collection : Problèmes sociaux et interventions sociales.

Résumé

Par une revue de la littérature scientifique et des exemples tirés de la vie courante, l'auteur rappelle les origines ambiguës et l'actualité prégnante du concept du handicap. D'un côté le handicap/désavantage surtout, de l'autre, en filigrane, la présence discrète du handicap/avantage. Une section intitulée « implications pour l'intervention » met l'accent sur l'acquisition des habiletés sociales et la contribution des merveilles de la microélectronique dans l'intégration sociale des personnes ayant une incapacité physique.

Pour mieux comprendre la notion de handicap suivez le lien... menant au site "Les classiques des sciences sociales" où il est possible de lire l'introduction de ce livre.

23-01-09 À lire... L'enfant inattendu : comment accueillir un enfant handicapé et favoriser son intégration à la vie familiale et communautaire. Chaque année, au Québec, naissent plusieurs centaines d'enfants atteints d'une déficience physique ou mentale. Les parents ne trouvent pas toujours autour d'eux l'aide, tant matérielle que psychologique, nécessaire pour faire face à l'inattendu.
 
 Auteurs : Lamarche, Constance
 Lieu d'édition : Montréal
 Éditeur : Boréal Express
 Année de publication : 1987
 Nombre de pages : 197 p.
 Thématique : Femmes
 Type de document : Monographie
 Langue : Français
 Cote : L3637

23-01-09 Reportage sur la Wii en réadaptation à l'émission Découverte L’émission découverte diffusait, ce dimanche, un reportage sur l’utilisation de la console Wii en réadaptation.
 
D'abord conçue pour faire bouger les enfants, la console de jeu Wii est en voie de transformer la réadaptation des personnes accidentées ou handicapées. Faciles à utiliser, les outils thérapeutiques virtuels ouvrent un pan de la mémoire affective et cognitive, facilitent la réadaptation à travers le jeu et transforment la perception des séances de réadaptation. Aujourd'hui, la Wii devient un outil de thérapie un peu partout au Canada et aux États-Unis, rapportent André Bernard et Jeannita Richard.
 
On peut voir le reportage sur le site de l’émission:
www.radio-canada.ca/emissions/decouverte/2008-2009/ Source: Paru le dimanche 20 janvier 2008 sur Inclusif 

23-01-09 L’intégration d’un enfant handicapé en service de garde Dans les pays occidentaux, le mouvement pour intégrer les enfants handicapés a progressé grandement, de même qu’au Québec. Voici, en bref, une conclusion détaillée de certaines expériences récentes vécues au Québec ainsi que plusieurs conseils pour favoriser une intégration harmonieuse des enfants atteints d’une déficience.
 
«L’intégration d’un enfant handicapé dans un service de garde lui fournit l’occasion d’explorer ses ressources personnelles et d’apprendre à fonctionner dans un nouveau milieu de vie avec des adultes et d’autres enfants. En plus de lui permettre de prendre sa place dans un service de garde, l’intégration lui donnera la possibilité de se développer et d’atteindre la plus grande autonomie possible ». (Ministère de la Famille et de l’Enfance, 2002).
 
L’objectif d’intégrer des enfants handicapés provient de la Politique du gouvernement du Québec en matière d’intégration et de la Politique d’intégration des enfants handicapés dans les services de garde du ministère de la Famille et de l’Enfance. Le défi est de taille pour les organisations telles que les services de garde, les écoles et les organismes offrant des services spécialisés ainsi que pour les parents, éducateurs spécialisés, etc. qui doivent s’ajuster à ces nouvelles trajectoires. Jusqu’à ce jour, au Québec, une étude effectuée auprès de 38 éducatrices en garderie a démontré que ces dernières montraient une attitude favorable concernant l’intégration des enfants avec déficience. Toutefois, leur approche est davantage motivée par des enfants présentant des troubles moteurs et auditifs que par des enfants ayant une déficience visuelle ou intellectuelle.
 
Obstacles
 
Différents obstacles se dressent devant cette intégration. De prime abord, il y a les locaux peu adaptés, les formations des éducatrices inadéquates, les obstacles organisationnels, le manque de confiance des parents envers les éducatrices, le manque de soutien, le climat de confiance non réceptif, le manque d’informations et de communication, le manque de moyens de transport, de soutien, etc.
 Des recherches ont également conclu que certaines attitudes et croyances entourant l’intégration des enfants qui présentent une déficience constituaient un obstacle à l’implantation des programmes intégratifs.
 
 « Des personnes qui ont participé pour la première fois à une équipe constituée à cette fin pensent souvent qu’elles seront à l’aise dans ce nouveau rôle. Après tout, il est relativement facile pour un médecin, un physiothérapeute, des parents ou d’autres soutiens de famille, un éducateur spécialisé et une éducatrice de se mettre d’accord sur le désir primordial de faire ce qui est le mieux pour l’enfant ». (Howard et autres, 2001).
 
Les facteurs de réussite
 
Tous les principaux intervenants s’entendent pour dire que pour réussir une intégration avec un enfant handicapé, il faut s’assurer que toutes les interventions et tous les services dont il a besoin lui seront fournis. De plus, il faut également tenir compte que chaque intégration constitue un cas unique et doit nécessiter un processus qui lui est propre. Le service de garde se doit d’être également de grande qualité. Ces particularités appellent à des lieux adaptés, un programme éducatif basé sur le jeu, un esprit ouvert orienté vers la diversité, des rampes d’accès pour les enfants ayant une déficience motrice, une réorganisation de l’espace pour les enfants ayant une déficience visuelle ainsi que des approches différentes des éducateurs pour faciliter l’intégration et la participation des enfants handicapés. Naturellement, il faut miser sur l’étroite collaboration entre les divers partenaires appelés à jouer un rôle d’envergure dans l’intégration sociale de ces enfants.
 
Le soutien aux personnes de garde ainsi qu’une formation de base doivent être envisagés en allouant du matériel adéquat et du personnel supplémentaire ainsi qu’un appui à la direction du service de garde.
 
Le partenariat, essentiel à la réussite du projet, doit reposer sur un climat de confiance.
 
Aspect positif
 
La recherche fait ressortir que les résultats des enfants handicapés introduits en milieu intégratif s’avèrent supérieurs à ceux obtenus dans les milieux spécialisés. Ainsi, les enfants qui fréquentent des groupes intégratifs sont davantage favorisés dans leurs interactions sociales en plus d’être très bien acceptés (plus du quart) par leurs pairs sans déficience.
 
« À l’heure actuelle, bien que la recherche ait apporté un certain nombre de réponses concernant l’intégration des jeunes enfants avec déficience dans les services de garde ordinaires, le sujet est loin d’être épuisé. Aux États-Unis, par exemple, les chercheurs avouent ne pas avoir encore réussi à établir de critères solides permettant de déterminer si l’intégration est la meilleure solution pour tous les enfants et dans toutes les circonstances; de même, des pièces manquent encore pour juger rationnellement de la modalité d’intégration susceptible d’être la plus bénéfique pour tel enfant, dans telle circonstance. Au Québec, la recherche sur le sujet donne déjà quelques pistes d’intervention, mais il reste des recherches à faire, tant sur les adaptations nécessaires pour tenir compte des besoins particuliers des enfants et de leurs capacités à s’adapter et à s’épanouir dans un milieu de garde ordinaire que sur les modalités de collaboration à établir pour y arriver ».  Source : ministère de l’Emploi, de la Solidarité sociale et de la Famille

23-01-09 Montant pour déficience mentale ou physique grave et prolongée Vous pouvez demander un crédit d'impôt de 2 250 $ si votre enfant est atteint d'une déficience mentale ou physique grave et prolongée attestée, selon le cas, par un médecin, un optométriste, un audiologiste, un orthophoniste, un ergothérapeute, un psychologue.
Vous devez inscrire ce montant à la ligne 386 du rapport d'impôt et joindre à votre déclaration le formulaire Attestation de déficience (TP-752.0.14) www.revenu.gouv.qc.ca/fr/formulaires/tp/tp-752_0_14.asp à faire remplir par le médecin traitant.

Les conditions pour que la déficience soit considérée comme grave et prolongée sont les suivantes : elle a duré ou il est prévu qu'elle dure au moins 12 mois consécutifs ; elle limitait de façon marquée la capacité d'accomplir une activité courante de la vie quotidienne (voir, parler, entendre, marcher, éliminer, vous alimenter, vous habiller, percevoir, réfléchir, vous souvenir).

Pour de plus amples renseignements : www.revenu.gouv.qc.ca

16-01-09 Semaine de la canne blanche 2009Logo de la semaine de la canne blanche L’autonomie en main, continuons l’œuvre de Louis Braille – Dans le cadre de la Semaine de la canne blanche, du 1er au 7 février prochain, le Réseau Comm-une-vision, dont l’Institut Nazareth et Louis-Braille fait partie, vous invite à participer à sa campagne de sensibilisation sous le thème : l’autonomie en main, continuons l’œuvre de Louis Braille.

Le 4 janvier 2009 a marqué le deux centième anniversaire de naissance du grand Louis Braille, celui dont le système d’écriture et de lecture a nettement amélioré les conditions de vie des personnes ayant une déficience visuelle. Joignez-vous à Comm-une-vision pour faire de la Semaine de la canne blanche 2009 un moment privilégié pour célébrer ce grand innovateur et reconnaître la portée de son œuvre.

Qui dit braille, dit accès à l’autonomie pour les personnes aveugles et malvoyantes. Et quand on parle d’autonomie, on réfère aussi à des outils, des ressources et approches d’intervention qui, de l’invention du braille à nos jours, ont ouvert bien des portes et nous rappellent que l’héritage de Louis Braille est bel et bien une œuvre à poursuivre.

Pour participer à cette campagne, rendez-vous à l’adresse Internet : www.canneblanche.qc.ca . Vous y trouverez des outils de promotion et des capsules d’information à télécharger, ainsi que des suggestions d’activités que vous pourrez adapter à vos objectifs de sensibilisation. Le site contient également de l’information sur le Réseau Comm-une-vision et le calendrier d’activités de ses organismes membres.

C’est également avec grand enthousiasme que le Réseau Comm-une-vision annonce sa collaboration avec le quotidien Le Devoir qui produira un cahier spécial dans son édition du 31 janvier prochain, pour souligner la Semaine de la canne blanche 2009 et le bicentenaire de la naissance de Louis Braille.

Ce cahier regroupera des articles variés abordant la thématique de la déficience visuelle sous différents angles : les personnes ayant une déficience visuelle et leurs besoins d’accès à l’information, les services qui leur sont offerts et les gestes à poser par les citoyens pour leur faciliter la vie, l’historique du braille et le modernisme de ce système.

Le Réseau Comm-une-vision est une table de communication de partenaires en déficience visuelle. Sa mission est de faciliter l’intégration sociale et améliorer les conditions de vie des personnes ayant une déficience visuelle par l’élaboration de stratégies communes de communication. Actuellement, le Réseau Comm-une-vision regroupe quatorze organismes œuvrant auprès des personnes ayant une perte de vision partielle ou totale. Source : Anne-Julie Ouellet, agente d'information et responsable des communications pour l'Institut Nazareth et Louis-Braille  

16-01-09 Programmation du Centre Dysphasia / Activités à venir

Camp de jour (été 2009)
• camp pour enfants dyslexiques
• camp pour enfants dysphasiques
• camp pour enfants TED (pouvant s'Intégrer avec des enfants dysphasiques)
• camp pour adolescents (13 à 15 ans)
• camp équithérapie

Équithérapie- semaine de relâche

En collaboration avec Ami-Zoothérapie, le Centre Dysphasia organise dans le cadre de la semaine de relâche, un camp de jour spécialisé pour les enfants ayant des troubles de langage. Entreprise spécialisée dans la thérapie assistée (chien, chat et cheval), Ami-Zoothérapie offrira des activités avec chien et cheval, des sorties d’exploration dans la forêt et à la cabane à sucre. Ce camp de jour aura lieu à St-Philippe. Places très limitées .

Répit de jour

Le Centre Dysphasia met en place un répit d’une journée (les samedis) pour les enfants présentant des troubles de langage. Ce répit sera axé sur la thérapie assisté par chien et cheval . L’enfant sera amené à apprendre le fonctionnement des chevaux et à travailler avec eux (brossage, promenade à cheval dans un manège, nourrir le cheval, etc) et à développer ses habiletés langagières grâce à des intervenants professionnels. Des ateliers de bricolage et autres seront également au rendez-vous. Offert à St-Philippe, places limitées à trois enfants.

Quilles pour enfants dysphasiques/TED

Les adolescents âgés de 10 ans et plus sont invités à se joindre au groupe d’adolescents qui participent aux quilles tous les dimanches de 9h30 à 11h00.

Classe régulière ou spécialisée ?

Le 31 janvier à 13h30 , le Centre Dysphasia organise une rencontre où seront présents une orthopédagogue, une travailleuse sociale et un professeur faisant l’école à la maison. Ces personnes ont toutes des enfants ayant des handicap et ont choisi des orientations différentes pour leur enfant. Les échanges permettront aux parents de prendre des décisions plus éclairées. Lieu: 540 rue King-Georges à Longueuil

Atelier de lecture

Une série d’ateliers de lecture débuteront en février pour les enfants âgés de 6 à 8 ans présentant des retard en lecture. Ces ateliers sont animés par Carine Chartrand, psychologue à la clinique des troubles de l’attention à l’hôpital Rivières-des-Prairies.

Qu’est-ce que les troubles d’attention ?

Des conférences et ateliers débuteront prochainement pour soutenir les parents ayant des enfants présentant un déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité ou impulsivité.

D'autres activités doivent suivent sous peu.

SALON DE L'ENFANT LE 25 AVRIL À LA POLYVALENTE LA MAGDELAINE

Sur place: plus de 50 exposants qui présenteront leurs services pour les enfants dysphasiques / TED / Trouble de l'attention / Trouble d'apprentissage

Des conférences animées par des professionnels.

Le dépliant du Salon arrivera sous peu.

Ginette Savoie
responsable du Centre Dysphasia de La Prairie
(450) 724-3863

16-01-09 Défi sportif 2009 à vos souris! Début des inscriptions en ligne Le compte à rebours jusqu’à la tenue de la 26e édition du Défi sportif a Photo de bénévoles du Défi Sportifcommencé. Dans environ quatre mois, plus de 3000 athlètes en provenance d’une quinzaine de pays gratifieront le public montréalais de performances à couper le souffle. Du 29 avril au 3 mai 2009, ces compétiteurs prendront part à l’un des 13 sports figurant au programme pour nous en mettre plein la vue. Cinq jours de sensations fortes au menu!
 
Nous invitons donc les athlètes à s’inscrire en ligne en consultant la section « INSCRIPTION » de l’onglet « ATHLÈTES ». Ces derniers pourront ainsi confirmer leur participation à compter du 16 janvier. La période d’inscription des bénévoles débutera, quant à elle, le 19 janvier. Les bénévoles n’auront alors qu’à sélectionner l’onglet leur étant destiné.
 
Rappelons que la bonne marche du Défi sportif repose sur une colossale équipe de bénévoles. Ainsi, nous sollicitons l’implication de pas moins de 900 bénévoles, lesquels seront amenés à œuvrer dans les secteurs suivants : accueil, communications, compétitions, évènements thématiques, financement et logistique.
 
Si vous n’avez pas froid aux yeux et souhaitez relever de nouveaux défis, joignez-vous à la dynamique équipe du Défi Sportif.. Une belle famille qui vous ouvre grand ses bras! Source: Défi Sportif

16-01-09 Connaissez-vous l'Audiojournal ? L'organisme l'Audiothèque a pour objectif de combler les lacunes vécues par les personnes handicapées visuelles qui n'ont pas accès aux médias imprimés.br>  
En ce sens, l'Audiothèque offre le service de l'Audiojournal qui permet aux usagers inscrits d'entendre la lecture du contenu des principaux quotidiens francophones de la province de Québec. Il comprend entre autre la lecture: d'activités, actualités, communiqués, divertissements, éditoriaux, gastronomie, habitation, le monde des affaires, main-d'œuvre, santé, sports, voyages, etc.
 
Par l'Audiojournal il est possible de retrouver les journaux suivants: Journal de Québec - Le Soleil - Journal de Montréal - La Presse - Le Devoir - Journal Voir - Quebec Chronicle Telegraph - The Gazette.
 
Pour en savoir plus visiter le site de l'Audiothèque à l'adresse suivante: www.audiotheque.com/ServicesPrinc.htm

16-01-09 Une étude sur le lien entre la testostérone et l'autisme La testostérone est montrée du doigt comme étant l'une des possibles causes de l'apparition de l'autisme chez l'enfant.
 
Selon des chercheurs britanniques de l'Université de Cambridge, la présence d'un niveau élevé de la principale hormone sexuelle mâle dans le liquide amniotique d'une femme expose le fœtus à un risque d'apparition de troubles autistiques.
 
Pour l'établir, l'équipe de recherche a mesuré la quantité de cette hormone sexuelle mâle dans le liquide amniotique de 235 femmes enceintes ayant subi une amniocentèse pendant leur grossesse. Elle a ensuite demandé à ces mères de remplir des questionnaires permettant d'identifier des caractéristiques autistiques chez leurs enfants alors âgés de 6 à 10 ans.
 
Les résultats montrent qu'il existe un lien entre la testostérone fœtale et les caractéristiques autistiques.
 
Le Pr Simon Baron-Cohen affirme cependant que ces résultats ne permettent pas de conclure à l'existence d'un lien entre le niveau de testostérone et un diagnostic clinique d'autisme ou de syndrome d'Asperger. Il estime qu'un échantillonnage de plusieurs milliers de personnes est nécessaire pour l'établir.
 
D'autres travaux ont déjà associé un niveau élevé de testostérone fœtale à un développement du langage plus lent, des difficultés avec les autres enfants ou des problèmes d'empathie.
 
L'autisme, qui apparaît généralement vers trois ans, est caractérisé par des déficits de la communication et des relations sociales, associés à des comportements répétitifs, stéréotypés.
 
Les résultats complets sont publiés dans le British Journal of Psychology.
 
Une étude du Centre universitaire de santé McGill a montré en 2006 que la prévalence de l'autisme est d'environ 65 cas pour 10 000 personnes (approximativement un enfant sur 155), ce qui en fait l'un des troubles pédiatriques les plus courants.  Source: Radio-Canada.ca / Agence France Presse Image de la vidéo sur la SP disponible sur YouTube

16-01-09 Pour en savoir plus sur la sclérose en plaques Nous vous invitons à regarder un très beau document créé par la Société canadienne de la SP qui est disponible sur YouTube. 

16-01-09 Journée d'échanges de l’Association québécoise des parents d’enfants handicapés visuels
 
Les parents d'enfants ayant une déficience visuelle et leur famille, organismes et intervenants du milieu sont invités à la journée d'échanges qui se tiendra le samedi, 21 février 2009 de 10 h à 16 h. L'activité aura lieu à l'Hôtel Clarion de Québec, situé au 3125 boulevard Hochelaga.

Des activités pour les jeunes et une garderie pour les petits sur place.  
 
1re présentation :
 
« Le plan d’intervention et l’implication des parents »
Présentation faite par Monsieur Maurice Bhérer, psychologue
 
2e présentation :
 
« Le développement de la vision et l’utilisation des autres sens en complément avec la vision »
Présentation faite par Mesdames Cindy Bouchard et Danielle Bouchard
 
Date limite d’inscription : 30 janvier 2009 (forfait avec hébergement)
Date limite d’inscription : 13 février 2009 (forfait sans hébergement)
Pour information : (450) 465-7225 ou 1-888-849-8729 (sans frais)
 
PRIX MEMBRES : Voir formulaire d’inscription
PRIX NON-MEMBRES : 25 $ / PAR ADULTE
 
Formulaire d’inscription et documents d’information disponibles sur le site Internet dans la page d’accueil à : www.aqpehv.qc.ca  

16-01-09 Un nouveau documentaire sur les limitations intellectuelles
 
IImbéciles, morons, idiots du village, retardés...
 
Des bâtons et des cailloux peuvent briser les os, mais les mots qu'on vous lance peuvent blesser à vie. Ces blessures ne peuvent être réparées avec l'aide d'un plâtre. Elles laissent derrière des cicatrices importantes et affectent profondément la confiance qu'une personne a en elle-même. Ces blessures font parfois de ces personnes des exclues alors qu'elles ont beaucoup à contribuer, et nous avons beaucoup à apprendre d'elles.
 
Demandez à une personne atteinte d'une limitation intellectuelle si on s'est déjà moqué d'elle, et vous découvrirez surement des blessures qui sont presque impossibles à guérir, peu importe le statut monétaire ou social.
 
La meilleure approche pour soulager le mal est d'éduquer la société quant à la valeur des secrets connus que par une personne qui peut s'avérer étiquetée en tant que Retardé.
 
De nos jours, cette expression n'est plus utilisée avec autant d'abandon qu'auparavant. Cependant, comme l'a découvert le cinéaste Pierre Tétrault, elle n'est jamais très loin de la surface malgré les efforts d'une société de plus en plus articulée.
 
« Nous avons été étudiés comme si nous étions d'une autre espèce, » dit Joe Clayton, narrateur Métis du film de Tétrault, The R Word, qui sera présenté sur les ondes d'OMNI Television cette année.
 
Clayton, qui fut envoyé en institution à l'âge de 12 ans, nous fais voyager à travers le pays à travers d'une histoire choquante d'abus tel que raconté par les personnes dont les vies furent déshumanisées par le système.
 
Par contre, parmi les préjugés et le désespoir, il y a incontestablement eu des pas d'effectués vers l'avant.
 
Les leçons de tolérance et de persistance à l'encontre de l'adversité n'ont jamais été aussi bien enseignées que par ceux qui vivent avec une limitation intellectuelle.
 
Lorsque les handicaps furent omis en tant que motifs pour la discrimination dans le premier brouillon de la Charte canadienne des droits et libertés, ce fut les familles des personnes atteintes de limitations intellectuelles qui ont mené la bataille pour que la situation soit rectifiée.
 
Les idées qui ont émergées des cercles de soutien formés par les parents désespérés de recevoir de l'aide, conduisent aujourd'hui plusieurs des politiques les plus constructives donnant aux personnes ayant des limitations le soutien dont elles ont besoin et méritent.
 
Tétrault avise que tout de même, le danger que l'institutionnalisation réapparaisse est toujours présent. Aussi, le manque de financement pour les systèmes de soutien communautaires nécessaires, particulièrement les logements abordables et adéquats, persiste.
 
En tant que cinéaste, Tétrault est particulièrement sensible aux questions traitant des limitations fonctionnelles.
 
This Beggar's Description, le documentaire sensationnel à propos du douloureux parcours de toute une vie que son frère Philip a mené dans la noirceur de la maladie mentale, a été introduit il y a 4 ans au Festival mondial de film de Montréal.
 
Philip Tétrault, écrivain et artiste, traîne les rues de Montréal, jouant les flutes et laissant derrière lui des poèmes.
 
« Tout ce que j'ai fait semble avoir été contrôlé par des forces invisibles, » dit Philip des jours où sa vie a commencé à s'écrouler.
 
« Je me sentais très coupable. »
 
S'il lisait à propos d'un meurtre dans un journal, il ressentait que ses pensées étaient responsables pour ce meurtre.
 
Lorsqu'il fut finalement admis à l'hôpital et diagnostiqué de schizophrénie, il croyait que les docteurs étaient des juges, convoqués par l'entremise du système d'interphone de l'hôpital pour présider ce « lieu d'exécution. »
 
This Beggar's Description est disponible à partir du National Film Board.
 
The « R » Word n'a pas encore été alloué un emplacement spécifique dans l'horaire officielle d'OMNI TV, mais le vice-président exécutif à la programmation Malcolm Dunlop espère que le documentaire sera diffusé ce printemps.br>  
Le stigma de la limitation intellectuelle est un sujet important, dit Dunlop. « Il ne discrimine aucune communauté. »
Source: Traduit de l'anglais par Le Phénix et tiré du quotidien Toronto Star

16-01-09 Une recherche sur le logement dans le Bas-Saint-Laurent : Quelle place pour les personnes handicapées dans les Basques ? Trois-Pistoles – L’association de personnes handicapées L’Éveil des Basques (APHEB) vient de publier une recherche sur la question de l’habitation chez les personnes vivant avec une ou des limitations. Le document, intitulé Habitation, logement, ressource résidentielle : quelle place pour les personnes handicapées ?, est divisé en trois volets.
 
Recherche sur les besoins résidentiels

La première partie est le résultat d’une recherche qu’a effectué l’APHEB, au courant de l’année 2008. L’objectif était de connaître les besoins résidentiels des personnes vivant avec des limitations dans la MRC des Basques et la municipalité de St-Cyprien. Cette recherche a permis de conclure que des lacunes existent toujours au plan résidentiel pour les personnes handicapées et ce, malgré les efforts déployés par les diverses organisations concernées (centre de santé et de services sociaux, centre de réadaptation en déficience intellectuelle, organismes communautaires…). En effet, 32,5 % des personnes rencontrées estiment que leur résidence ne répond que partiellement à leurs besoins ou n’est pas du tout appropriée à leur condition. En ce qui a trait aux services reçus, près de 30 % des gens se disent insatisfaits.
 
Portrait de l’offre de ressources sur le territoire

Bien qu’il existe quelques ressources et que ces dernières soient réparties de façon plus ou moins équitable sur le territoire, il n’y a pas d’alternative à l’hébergement en dehors de la famille naturelle pour la personne handicapée qui souhaite acquérir, développer ou renforcer son autonomie. C’est ce que la seconde partie souligne en compilant l’offre de services résidentiels s’adressant aux personnes handicapées dans la MRC des Basques et la municipalité de Saint-Cyprien.
 
Ressources ailleurs au Bas-Saint-Laurent et au Québec

LLe dernier volet du document présenté recense une partie des modèles résidentiels alternatifs, existants ou en projet, ailleurs sur le territoire du Bas-Saint-Laurent et de la province de Québec. Une description exhaustive de chaque résidence est effectuée ainsi qu’un portrait de sa clientèle. Les ressources étudiées sont Notre Maison à Rivière-du-Loup, la résidence Clair-Soleil à Sainte-Claire, la Villa Marie-Lessard à Lac Etchemin, l’Îlot Desjardins à Lévis et les Îlots du Boisé et des Cèdres à Saguenay. Les projets analysés sont ceux d’Amqui, de Rimouski et de Saint-Pascal-de-Kamouraska.
 
Échantillon de recherchebr>
Dans le cadre de l’enquête sur les besoins des personnes handicapées de la MRC des Basques et de la municipalité de Saint-Cyprien, 40 personnes, âgées de 23 à 70 ans et vivant une situation de limitation ont été rencontrées. Plus de 35 % de ces personnes déclarent avoir une ou des limitations physiques, alors que 22,5 % ont une limitation sur le plan intellectuel. La majorité des personnes interrogées, 65 % réside à Trois-Pistoles. Les trois quarts des personnes participantes reçoivent des services d’aide ou d’accompagnement. Une personne sur cinq ayant été rencontrées réside dans une ressource.
 
Besoins exprimés

L’enquête portait principalement sur les besoins au plan résidentiel. Lorsqu’on demande aux personnes participantes où elles habiteraient si elles en avaient le choix, la majeure partie, 47,5 %, choisirait d’habiter un logement ou une maison de façon autonome. Une partie de ce nombre, 17,5 % du total des participants, opte pour le logement avec services ou supervisé, en second lieu. Treize personnes choisissent le logement avec services ou supervisé comme premier choix. Un besoin en ce sens est donc clairement manifesté par les personnes handicapées interrogées au cours de notre enquête.
 
Ces mêmes personnes expriment aussi des besoins importants en termes de services. En effet, 75 % des personnes participantes aimeraient recevoir des services d’aide à la vie domestique, 57,5 % aimeraient recevoir des services de soutien civique et 20 %, des services d’assistance à la vie quotidienne.
 
Suite à la publication de ce document, l’association identifie la question du logement pour les personnes handicapées comme une préoccupation majeure sur son territoire. En conséquence, l’APHEB entend travailler à résoudre cette problématique au cours des prochaines années. Dans un premier temps, l’objectif sera de sensibiliser la population et les acteurs locaux aux enjeux reliés à l’habitation pour les personnes vivant des limitations. Pour ce faire, l’Éveil des Basques prévoit rencontrer les décideurs ainsi que les intervenants œuvrant auprès des personnes handicapées afin de leur présenter les conclusions de sa recherche. En second lieu, l’association souhaite organiser un colloque sur le sujet à l’automne. D’autres activités sont aussi à prévoir prochainement.
 
Le document de recherche est disponible sur demande. Source: Paru le jeudi 8 janvier 2009 sur Bas-saint-laurent.org / écrit par  Audrey Plouffe

16-01-09 Symposium scientifique sur la déficience visuelle L’Institut Nazareth et Louis-Braille et l’Université de Montréal organisent le 11e Symposium scientifique sur l’incapacité visuelle et la réadaptation qui se tiendra le mardi 10 février 2009 au pavillon Roger-Gaudry de l’Université de Montréal sur le thème « Mode tactile et technologie adaptée : l’héritage de Louis Braille »
 
Prix d’entrée ou frais d’admission
 
120 $, 40 $ pour les étudiants et les personnes ayant une déficience visuelle. Repas du midi compris, taxes non applicables.
 
Date : mardi 10 Février
 
Lieu
 
Pavillon Roger-Gaudry
Université de Montréal
2900, Chemin de la Tour, Montréal
 
Informations
 
RSVP avant le 3 février 2007
Nom de la personne contact
 
Rollande Grondin
450 463-1710, poste 315
rollande.grondin@rrsss16.gouv.qc.ca 

16-01-09 Le traitement contre la tuberculose peut vous amener une déficience auditive

Si vous souffrez d’une tuberculose multi-résistante, vous risquez de souffrir d’une perte d’acuité auditive permanente suite aux effets secondaires de la prise de médicaments.

Les patients qui souffrent de tuberculose résistante doivent être soignés à l’aide d’autres médicaments qui comprennent de l’amicacin, kanamycin et capreomycin, toutes faisant partis des aminoglycosides. La perte d’acuité auditive fait partie des effets secondaire lorsque les patients suivent un traitement à base de ces médicaments selon les médecins qui ont effectué cette étude.

Cette étude monte que parmi les patients qui suivent un traitement à base de médicaments contre la tuberculose, 18,75 pour cent, ou près d’un patient sur cinq, souffrent de déficience auditive.

La perte auditive qui suivait le traitement s’avère être permanente. Un a


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